Présentation de la nouvelle Yamaha 1800 V-Max. La première V-Max est devenue une icône pour de nombreux passionnés. Yamaha compte bien déclencher pour le modèle 2009 le même enthousiasme… La série sera toutefois limitée. Y en aura pas pour tout le monde !
Pour ce qui est de juger la machine… outre l’esthétique qu’on vous laisse juger, il faudra attendre le premier essai pour se prononcer sur la mécanique. Nous n’avons pas mis nos fesses dessus : impossible d’approcher la machine à moins de trois mètre !
Seule certitude, l’autonomie de la bête sera, comme le look, fidèle à l’original : toujours logé sous la selle, le réservoir reste d’une contenance, disons, modeste.
Le 1700 V-Max sera commercialisé en novembre 2008. Pré-commandes requises, à partir de juillet, par Internet (www.new-VMAX.com). Les premiers à se faire connaître seront les premiers servis.
Pour être certain que le V-Max 1700 charme tout le monde, Yamaha avait bien entendu recruté une jolie senorita… était-ce bien nécessaire, tant la machine était attendue ?
Nous n’avons pas pu approcher la bête à moins de trois mètre, mais les premières impressions quant à la finition sont plutôt très bonne. Au prix où est annoncé l’engin (environ 20.000 €), le contraire aurait plus que déçu.
Nous n’avons eu droit « qu’au » gros camion américain et à un show sur la base aérienne espagnole de Santo Tome. Les Américains, eux, le même jour – présentation mondiale oblige – ont eu droit à un show sur un porte-avion de l’armée. Rien que ça ! Mais pour nous, le Charles de Gaulle n’était pas libre ce jour-là !
Pour ce qui est de la mécanique, il faudra attendre les premiers essais pour se prononcer et se contenter pour le moment des données techniques fournies (voir fiche technique , et aussi les détails dans l’article « V-Max 2009 : ce sera un 1700 ! »
Après quelques petits tours de roues et autres joyeusetés, le V-Max a pris place sur la remorque du gros « truck » américain qui lui faisait office d’écrin-présentoire pour une présentation orale et en musique.
Plus ramassée que son prédécesseur, le 1700 V-Max paraît encore plus bestial.
Jean-Claude Olivier, patron de Yamaha France, nous explique que l’idée était de rester dans l’esprit du V-Max originel, le truc bodybuildé, le dragster des rues. Pour la ligne en tout cas, on ne peut pas se tromper ! Détail parmi tant d’autres : les écopes pour gaver le moteur d’air frais sont vraiment en alu, pas en plastique comme sur le 1200 ?
Pour ce qui est de juger la machine… outre l’esthétique qu’on vous laisse juger, il faudra attendre le premier essai pour se prononcer sur la mécanique. Nous n’avons pas mis nos fesses dessus : impossible d’approcher la machine à moins de trois mètre !
Seule certitude, l’autonomie de la bête sera, comme le look, fidèle à l’original : toujours logé sous la selle, le réservoir reste d’une contenance, disons, modeste.
Le 1700 V-Max sera commercialisé en novembre 2008. Pré-commandes requises, à partir de juillet, par Internet (www.new-VMAX.com). Les premiers à se faire connaître seront les premiers servis.
Pour être certain que le V-Max 1700 charme tout le monde, Yamaha avait bien entendu recruté une jolie senorita… était-ce bien nécessaire, tant la machine était attendue ?
Nous n’avons pas pu approcher la bête à moins de trois mètre, mais les premières impressions quant à la finition sont plutôt très bonne. Au prix où est annoncé l’engin (environ 20.000 €), le contraire aurait plus que déçu.
Nous n’avons eu droit « qu’au » gros camion américain et à un show sur la base aérienne espagnole de Santo Tome. Les Américains, eux, le même jour – présentation mondiale oblige – ont eu droit à un show sur un porte-avion de l’armée. Rien que ça ! Mais pour nous, le Charles de Gaulle n’était pas libre ce jour-là !
Pour ce qui est de la mécanique, il faudra attendre les premiers essais pour se prononcer et se contenter pour le moment des données techniques fournies (voir fiche technique , et aussi les détails dans l’article « V-Max 2009 : ce sera un 1700 ! »
Après quelques petits tours de roues et autres joyeusetés, le V-Max a pris place sur la remorque du gros « truck » américain qui lui faisait office d’écrin-présentoire pour une présentation orale et en musique.
Plus ramassée que son prédécesseur, le 1700 V-Max paraît encore plus bestial.
Jean-Claude Olivier, patron de Yamaha France, nous explique que l’idée était de rester dans l’esprit du V-Max originel, le truc bodybuildé, le dragster des rues. Pour la ligne en tout cas, on ne peut pas se tromper ! Détail parmi tant d’autres : les écopes pour gaver le moteur d’air frais sont vraiment en alu, pas en plastique comme sur le 1200 ?